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Narendra Modi — Wikipédia

LES REMARQUES DE MODI dĂ©clenchent la controverse : les accusations de discours de haine pendant la campagne

- Le principal parti d'opposition indien, le Congrès, a accusé le Premier ministre Narendra Modi d'avoir tenu des propos haineux lors d'un rassemblement électoral. Modi a qualifié les musulmans d’« infiltrés », ce qui a provoqué d’importantes réactions négatives. Le Congrès a déposé une plainte auprès de la Commission électorale indienne, arguant que de tels commentaires pourraient aggraver les tensions religieuses.

Les critiques estiment que sous la direction de Modi et de son parti Bharatiya Janata (BJP), l'engagement de l'Inde en faveur de la laïcité et de la diversité est menacé. Ils accusent le BJP de favoriser l'intolérance religieuse et d'inciter occasionnellement à la violence, bien que le parti affirme que sa politique profite à tous les Indiens sans parti pris.

Dans un discours prononcé au Rajasthan, Modi a critiqué la précédente gouvernance du parti du Congrès, l'accusant de favoriser les musulmans dans la répartition des ressources. Il a averti qu'un Congrès réélu réaffecterait les richesses à ce qu'il appelle des « infiltrés », se demandant s'il était juste d'utiliser les revenus des citoyens de cette manière.

Le chef du Congrès Mallikarjun Kharge a condamné les commentaires de Modi comme un « discours de haine ». Pendant ce temps, le porte-parole Abhishek Manu Singhvi les a qualifiés de « profondément répréhensibles ». Cette controverse survient à un moment critique du processus des élections générales en Inde.

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Les remarques controversées de MODI déclenchent des accusations de discours de haine

- L'opposition indienne, le parti du Congrès, a accusé le Premier ministre Narendra Modi d'utiliser des discours de haine dans ses récentes remarques de campagne. Lors d’un rassemblement, Modi a qualifié les musulmans d’« infiltrés », déclenchant d’importantes réactions négatives. Le parti du Congrès a déposé une plainte officielle auprès de la Commission électorale indienne, affirmant que les commentaires de Modi pourraient aggraver les tensions religieuses.

Les critiques affirment que depuis que le parti Bharatiya Janata (BJP) de Modi a pris le pouvoir, l'engagement de l'Inde en faveur de la diversité et de la laïcité s'est affaibli. Ils affirment que le BJP encourage l’intolérance religieuse et incite parfois à la violence. Cependant, le BJP insiste sur le fait que ses politiques servent tous les Indiens de manière égale et ne sont biaisées contre aucun groupe.

Lors d'un événement de campagne au Rajasthan, Modi a critiqué la gouvernance passée du parti du Congrès pour avoir donné la priorité aux musulmans dans l'allocation des ressources. Il a suggéré que s'il était réélu, le Congrès redistribuerait les richesses à ceux qu'il qualifie d'« infiltrés », se demandant si les revenus des citoyens devaient être utilisés de cette manière.

Les dirigeants des partis du Congrès ont condamné les déclarations de Modi, les qualifiant de source de division et de danger. Mallikarjun Kharge les a qualifiés de « discours de haine », tandis que le porte-parole Abhishek Manu Singhvi les a qualifiés de « profondément répréhensibles ».